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ANA PEREZ GRASSANO

Ana et Scarlette.jpg

Le Journal d’Ana

 

L’écriture plastique d’Ana Pérez Grassano s’approche comme un journal intime.

Ce qui est laissé à voir est la couverture, ce qui se lit ne se peut pleinement que si l’artiste en partage les clefs.

 

Le journal d’Ana, composés au fil des événements qui s’égrènent et influencent la vie intérieure de l’artiste depuis une dizaine d’années. 

En cela l’écriture ne se répète jamais : c’est une joute charnelle entre la toile et l’huile dont la chorégraphie est autant intime que spontanée. 


Le geste est le plus souvent nocturne, hors les bruits parasites du quotidien, en cet espace-temps où se cristallisent les émotions profondes, entre dépit, cri, rage, douleur ou tristesse. 


Une fois la trace déposée sur le canevas, qu’elle soit catharsis figurative ou abstraite, vient l’apaisement. 
Et la possibilité pour l’artiste de se détacher par des stratégies de recouvrement de la toile, comme l’on referme un journal.

 

Franco-argentine née à Rosario, Ana Perez Grassano vit à Paris depuis 2002. 

Architecte-urbaniste de formation, elle crée le cabinet d’architecture APG en 2012, période à partir de laquelle elle accorde une place grandissante à la peinture et la création de mobilier.

 
Ana expose dans le monde entier, de Paris à Buenos Aires, en passant par Venise, Londres et New York.

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Ses œuvres font partie de collections privées prestigieuses comme celles de Monsieur Laurent Dassault, Monsieur et Madame Weill, Monsieur et Madame Schmoll, Madame Karine Ohana mais aussi celle de la collection Bouygues.
 

En 2021, elle est reçue à l’Élysée par la première dame Brigitte Macron. Sa toile Noches Tangueras intègre la collection privée de la Présidence de la République Française. 

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En 2020, l’artiste réalise sa première vente aux enchères à Drouot. 

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Elle collabore également avec des galeries de renom comme la galerie Jean-Marc Lelouch à Paris, Ekavart à l’hôtel Ritz d’Istanbul et participe à des foires internationales d'art comme à l'Olympia exhibition center de Londres.
Elle est régulièrement invitée à des résidences artistiques ; pour n'en citer que quelques unes, celles du Four Season aux Maldives, du Sofitel Palace de Buenos Aires ou encore du Dragon Building à Songjiang en Chine avec le sculpteur Chen Dapeng.

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Elle compte  également de nombreux partenariats avec des institutions d’état comme l’Ambassade de la République Argentine en France et la mairie du 6ème arr. de Paris.


Cet été, elle a présenté son exposition La Joie en Moi à l’Orangerie du Sénat au Jardin du Luxembourg de Paris, soutenue par la maison Artcurial.

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En novembre, elle dévoilera sa nouvelle exposition May Love Overcome Hate au Consulat Général d’Argentine de New York, toujours accompagnée par Artcurial.

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